Kaolack a marqué la première étape de la tournée pour l’élaboration de la Politique nationale d’emploi. Une occasion pour le Ministre du Travail de l’Emploi et des relations avec les Institutions (MTERI) Abass FALL, d’échanger avec les populations, les acteurs de développement et les autorités locales, sur la situation de l’emploi dans la capitale du bassin arachidier.

Kaolack a marqué la première étape de la tournée pour l’élaboration de la Politique nationale d’emploi. Une occasion pour le Ministre du Travail de l’Emploi et des relations avec les Institutions (MTERI) Abass FALL, d’échanger avec les populations, les acteurs de développement et les autorités locales, sur la situation de l’emploi dans la capitale du bassin arachidier. Une belle occasion pour le ministre Abass FALL de rappeler l’option du gouvernement sur l’agriculture pour développer le Sénégal.

L’élaboration du Programme national de l’Emploi entre en droite ligne des objections de l’Agenda 2050 et relève d’une directive précise du Chef de l’Etat, son Excellence Bassirou Diomaye Diakhar FAYE.  Pour le réussir, il faut une « dynamique d’ensemble, d’où la politique d’inclusion à travers les Conseils régionaux de développement, dont l’acte 1 est pos é ce jour à Kaolack », a rappelé le MTERI devant les acteurs de l’économie et les autorités administratives présentes dans la salle de conférence du Conseil départemental de Kaolack.

Selon Abass FALL, « le modèle économique pour développer le Sénégal est l’agriculture au sens large du terme ». Ce qui inclut les paysans, les pêcheurs, les éleveurs, entre autres, sans oublier les femmes transformatrices…

L’emploi est érigé en priorité par les plus hautes autorités du pays ce qui en fait « une question de sécurité nationale ». Il faut alors soutient le MTERI, Abass FALL « relever les potentiels régionaux pour mieux adapter la Politique nationale de l’emploi ». Il n’a pas manqué de lancer un appel au secteur privé afin qu’il accompagne l’Etat dans sa grande croisade contre le chômage et le sous-emploi.

Notons qu’au cours des discussions, les acteurs ont plaidé en faveur de la formation des conducteurs de moto-taxis, de l’organisation de la formation et de la formalisation des commerçants, de l’appui à l’artisanat qui regroupe 120 corps de métiers…